Sur le parquet puis du banc, le Shaq prend dans la gueule la science du rebond du vieux K. Willis.

On pourra empiler les stats, mettre sur la table tous les indicateurs de comparaison, il y aura toujours matière à débats.
J'ai eu la chance de voir jouer les deux en direct, et l'impression visuelle est, pour moi, un critère déterminant.

On pourrait en dire autant de la consommation animale : hygiénisme, croyances, inexactitudes, carences et intérêts financiers...
Il n'y a pas une once d'extrémisme dans le régime alimentaire évoqué dans l'article. Pas plus que dans celui de Leo Messi, Serena Williams, et j'en passe. Pas plus que dans celui de l'écrasante majorité des végétaliens.

Encore un spécialiste de l'alimentation végétale en freelance

Où l'on apprend que la consommation des végétaux a été indispensable à la survie de l'espèce, y compris pour les groupes omnivores des régions froides, parce que l'hydrate de carbone des végétaux permet d'assimiler les protéines animales. On apprend aussi que le principal indicateur de la consommation de viande (l'azote 15) augmente quand les sujets sont exposés à des périodes de disette en viande grasse.
Par ailleurs, la recherche commence à peine à se donner les moyens de retrouver dans le tartre dentaire la trace d'une consommation de végétaux, les études s'étant jusqu'à présent concentrées sur la consommation de viande, plus facilement repérable, en projetant ses propres catégories (avec un préjugé positif pour la consommation carnée) sur les modes de vie du passé.

Il ne faut pas perdre de vue, au-delà du luxe de détails de ces conférences (en effet très intéressantes), l'essentiel si on réfléchit sur la place de la viande dans la constitution du genre homo. Il est depuis longtemps établi au sein de la communauté scientifique qu’à la naissance du genre Homo le régime alimentaire est constitué à 80% de plantes, tubercules, rhizomes, fruits et feuilles tendres, le reste se composant d’insectes et pour moins de 10% d’œufs et de petits animaux (oiseaux, rongeurs). Le régime alimentaire se transforme ensuite avec le climat sec et froid du paléolithique, mais surtout en Europe. Le paléolithique moyen connaît une alimentation qui peut être très largement végétale (pithécanthropes, sinanthropes, etc.).

Je ne vois aucun fondement à cette affirmation : "Qu'on puisse lui trouver des substituts, pourquoi pas, et encore c'est toujours très difficile." Les seuls faits attestés scientifiquement sont les suivants : tous les acides aminés essentiels et non essentiels se trouvent dans les protéines végétales et en proportion suffisante. Il suffit de consulter une table nutritionnelle complète. L'alimentation végétale est en revanche pauvre dans un nutriment (vitamine B12) qu'une complémentation pallie pour une somme modique. En passant, la population omnivore est aussi exposée au risque de carence en B12, de même qu'à des risques plus importants de diabète, d'hypertension, d'hypercholestérolémie, de maladie du côlon, etc.

A GS, Monta a été un soliste de génie.
Nostalgie de la lose magnifique et des coups de bluff de Don Nelson...

M. Kucharczyk a de saines lectures. Il serait étudiant ou ancien étudiant en sciences sociales que ça ne m'étonnerait pas.

Il devrait mieux se renseigner sur l'histoire de son sport, voire de sa franchise...

Pour Pau Gasol, le basket a perdu Pau Gasol dans le jeu rapide...

Excellent titre. Plus de capacité à artiller cette année, mais moins de défense. Ils seront haut, mais peut-être pas 3e de conf.